je voulais tout d'abord vous remercier pour les nombreux retours que j'ai pu avoir concernant LA PREMIÈRE PARTIE de cette BD.
J'ai reçu de nombreux messages de soutien et d'encouragement et pour cela, je vous en remercie.
Par contre, et ce n'est pas pour vous miner le moral, mais la suite est nettement pire que cette première partie ! Et honnêtement, je suis étonnée que vous soyez déjà "choqué(e)s" par le début de l'histoire alors que pour moi c'était la partie "soft" xD !
Bref. Ne tournons plus autour du pot, voici la suite de ma BD :
Et je peux vous certifier qu'après une absence de 6 mois ça te fout un sacré électrochoc... |
Ah oui parce qu'elle parlait tellement vite et fort que je n'ai pas pu en placer une. Et bien sûr nous étions SEULES au bureau. |
Oui parce qu'il n'a strictement RIEN fait à part (mais ça je l'ai su plus tard) se moquer de ma "sensibilité"... Clairement, c'était moi qui avais encore tous les torts... |
Je vous assure que ces promesses étaient récurrentes... |
Oui... La banque qui devait nous faire le prêt attendait une promesse d'embauche parce qu'un CAE ne vaut rien pour un emprunt. |
Oui, c'est bien moi qui ai dû insister pour avoir une réponse... |
Merci d'avoir lu la suite de mon histoire !
J'ai dû ajouter pas mal d'annotations le long de cette partie parce que c'est vraiment un dossier très dense, il s'en est passé des choses en 5 ans !
> Petite précision pour le BAFA, parce qu'une amie à l'époque m'a demandé pourquoi je ne cherchais pas une session moi-même : dès que je le relançais, mon directeur me certifiait qu'il en organiserait une dans nos locaux prochainement et qu'il ne voulait pas que je cherche ailleurs parce qu'il préférait que je sois sur place... Et, petit fait "amusant", vers mars/avril 2017 lorsque je l'ai un peu pressé en disant que ça urgeait (parce qu'il y a un temps limité pour passer le BAFA) il m'a répondu... : Que j'avais qu'à m'en préoccuper avant (!!!!!)
Et je vais même ajouter un petit disclaimer ici : j'accuse beaucoup les torts de l'équipe de direction parce que clairement ils ne sont pas comportés correctement avec moi.
Mais pour être tout à fait honnête avec vous, il faut savoir que le directeur adjoint m'a souvent aidée, et il ne serait pas juste de ma part de l'occulter.
Lorsque je venais en remplacement sur son Centre de Loisirs, il m'arrangeait au maximum au niveau des horaires (c'était le seul de l'équipe qui avait des enfants en bas âge et qui faisait preuve de compréhension).
C'est sûr et certain le travail parfait n'existe pas, mais vous devez quand même admettre que j'ai vécu un cumul d'injustices...
> Autre petit exemple qui montre pourquoi je qualifie ma collègue de "méchante" (alors j'ai choisi cet adjectif pour ne pas être vulgaire ou insultante hein xD) : Un jour, une femme est venue postuler pour un poste de femme de ménage (nous en cherchions 2), or, apparemment, elle avait stipulé qu'elle était mère célibataire d'un enfant de 7 ans... Et bien, qu'est-ce-que ma méchante collègue a rétorqué au directeur ? Je vous le donne en mille :
"Oh encore une qui va nous emme*der avec son gosse ! Mets son entretien d'embauche à l'heure de sortie des écoles comme ça on verra si elle peut se débrouiller avec son chiard !"
NO F*CKING COMMENT.
Et encore... Attendez la suite !
Abberant !
RépondreSupprimerEt le mot est faible... Vraiment.
Tu a été très courageuse de supporter une telle situation en cinq ans! Je ne sais pas si j'aurai pu le faire.
RépondreSupprimerLe travail en lui même n'est jamais compliqué mais c'est l'environnement et le caractère des collègues qui le rendent plus laborieux.